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MARDI 21 FÉVRIER 2017

3

HW

HUY ET SA RÉGION

AGENDA

AMAY

Exposition

Jean & Marie

Rocour à la collégiale Saint-

Georges et Sainte-Ode jus-

qu’au 17 avril.

>

Prix : 2€, gratuit le premier

dimanche du mois.

Conseil communal

A la

maison communale à 20 h.

HUY

Exposition

de gravures,

« Kanako Higa » aux Cimai-

ses de l’Académie des

Beaux-Arts jusqu’au 7 mars.

Rencontres

littéraires

avec Valérie Cohen au cen-

tre culturel à 20 h.

Collecte de sang

Au Ser-

vice de sang – CHR Huy-Poly-

clinique de Gabelle de 13 h à

19h30.

Conseil communal

A l’hô-

tel de ville à 20 h.

MARCH IN

Exposition

« Robinson

sauvé par les sens jusqu’au

26 février au centre culturel.

>

Rés. : 085/41 35 38.

PHARMACIENS

Après 22 h, call center au

0903/99 000

S EC T EUR D E HUY

Pharmacie Sabine Daem,

rue des Rôtisseurs 10, Huy,

085/21 11 53

Pharmacie Françoise Ba-

dot, chaussée de Tirlemont

214, Vinalmont, 085/21 18 69

PROGRAMME RTC

00h : Rediffusion

00h30 : Replay

02h : Rediffusion

10h : L’Album

11h : Écoland

11h30 : Mobil’Idees

12h : Magazine de la ré-

daction

12h30 : JT de midi, Météo,

Focus

15h : L’Ardent Parler

15h30 : Bienvenue chez

vous

16h : Perspectives

18h : Le JT, Météo, Focus

20h20 : Les testeurs

20h30 : DBranché

21h : Le JT, Météo, Focus

21h30 : Le JT de Téléves-

dre, Météo, Focus : Festival

anima

22h : Le JT, Météo, Focus

22h20 : Les testeurs :

22h30 : DBbranché

23h : Le JT, Météo, Focus

CONTRÔLES DE VITESSE

Routes communales de

Wanze

INFOS-SERVICES

Frédéric RENSON

«M

avie a toujours été ryth­

mée par des cycles de

dix ans : la médecine, le

handball, le théâtre et la politique qui

restera une très belle expérience… »

Jeudi, le conseil communal de

VillersleBouillet actera la démis­

siondePierrePogorzelski. Àbien­

tôt 60 ans (en juillet prochain),

l’élu socialiste a décidé de tourner

la page politique.

« Simplement

pour des questions de charges fami­

liales et professionnelles qui ne me

permettaient plus d’assumer mon

mandat de conseiller communal

comme je l’entends en se donnant le

temps de suivre les dossiers comme je

l’ai toujours fait

, confie celui qui

exerce le métier très prenant de

médecin généraliste.

Et puis, je

pense que j’ai été suffisamment sanc­

tionné aux élections de 2012… avec

une perte de 15%.Mais, ce n’est pas

cela qui m’amène aujourd’hui à dé­

missionner. Mes motivations sont

professionnelles et familiales. J’arrête

la politique, mais je reste un homme

de gauche, hein. »

Pierre Pogorzelski s’était pré­

senté pour la première fois aux

électeurs villersois en

2006.Il

fera

d’ailleurs une entrée remarquée

sur la scène politique locale enas­

sumant directement une fonc­

tion au sein du collège commu­

nal en tant qu’échevin en charge

des travaux, de la culture et des

cultes notamment.

« Je garde de

ces six années la satisfaction princi­

pale d’avoir obtenu deux millions

d’euros d’aides publiques pour faire

la nouvellemaison communale. Pour

une Commune de la taille de Villers­

leBouillet, c’est important de ne pas

passer à côté d’un soutien comme ce­

luilà. J’estime aussi avoir fait un tra­

vail exemplaire au niveau de l’entre­

tien et de la rénovation des voiries. Il

faut parfois se battre au sein du col­

lège pour obtenir ces budgetslà car le

gâteau à partager entre échevins

n’est évidemment pas extensible. »

Maryline Depireux le remplace

Depuis 2012, le PS ayant fait les

frais de la victoire de la liste En­

semble, Pierre Pogorzelski vivait

la politique communale depuis

les bancs de l’opposition. Sa dé­

mission à une grosse année du

prochain rendezvous électoral

l’invite aujourd’hui à porter un

regard teinté d’une certaine im­

partialité.

« VillersleBouillet reste

une commune de progrès illustrée

par l’accessit de plusieurs dames à la

fonction de bourgmestre. À l’instar

de Brigitte Simal et de Christine Col­

lignon, Aline Devillers fait son tra­

vail dumieuxqu’elle peut. Et puis, les

choses changent régulièrement à cha­

que législature et c’est bon d’un point

de vue démocratique. C’est bien que

de nouvelles figures émergent. »

Celle qui relaiera Pierre Pogor­

zelski dans le groupe PS au con­

seil communal n’est pasvraiment

unenouvellefigure.MarylineDe­

pireux a, en effet, déjà siégé au

conseil entre 2010 et 2012.

VILLERS -LE -BOUILLET

Pierre Pogorzelski quitte la politique

Le conseiller communal

socialiste et ex-échevin des

Travaux, démissionne

pour

se recentrer sur sa famille

et sonmétier prenant de

médecin généraliste.

Après dix ans de mandat politique,

Pierre

Pogorzelski a décidé de retourner à

100 % vers ses devoirs familiaux et

professionnels accaparants.

Cédric Meunier

A

près trois nouvelles pri­

mées dans des concours,

puis deux recueils pu­

bliés par la maison d’édition

Acrodacrolivres, on retrouve

Valéry Hardiquest sur deux

autres projets : la sortie d’un re­

cueil de nouvelles chez Livr’S

Éditions et la préparation d’un

roman. Pour le recueil de nou­

velles, intitulé

« Nouvelles sai­

sons »

et dont la sortie est pro­

grammée quelques jours avant

le début de la Foire du Livre,

l’auteur engissois a été

« con­

tacté en janvier 2016 par l’édi­

trice. On est sixauteurs en tout,

dont l’éditrice ellemême, à se par­

tager les quatre saisons, le thème

du bouquin. Elle m’a demandé

deux nouvelles. J’ai choisi de si­

tuer la première en décembre… »

Pour écrire « L’étonnant testa­

ment de Tante Hortense », Va­

léry Hardiquest a en effet

voulu « surfer » sur les codes

de ce mois particulier de l’an­

née.

« C’est la période des fêtes, il

y a de la magie, du mystère… En

plus, j’ai choisi de situer mon intri­

gue dans un village fictif des Ar­

dennes. »

Pour la seconde nouvelle,

l’auteur engissois a choisi une

autre saison.

« La fin de l’été »

,

avec « Lisa Derosten », une

jeune joueuse de tennis pro­

metteuse.

« J’ai eu cette idée

alors que j’accompagnais mes en­

fants au tennis du Mosa. »

C’est

donc là, dans le club local, que

se déroulera l’intrigue.

Le roman, pour passer plus de

temps avec les personnages

La première nouvelle fait en­

viron 50000caractères, c’està­

dire une quarantaine de pages.

Un « grand format » qui per­

met à Valéry Hardiquest de

glisser tout doucement vers le

roman, là où rêvent de l’emme­

ner ses fans.

« Les gens me disent

toujours qu’ils voudraient passer

plus de temps avec mes personna­

ges. »

Un roman sur lequel il

travaille et dont l’intrigue se

déroulera en partie dans la val­

lée de Liège,

« avec des incur­

sions à Huy, Waremme, Liège »

et qui trotte dans la tête de son

auteur depuis un paquet de

temps.

« J’aurais pu en faire une

nouvelle mais j’ai toujours senti

que je pouvais en faire quelque

chose de plus. »

Alors, l’auteur

s’est adapté au genre, différent

de celui de la nouvelle.

« Ce

n’est pas le même rythme, les mê­

mes codes. Comme c’est nouveau

pour moi, je suis quand même un

peu parti à l’intuition… »

Pour en savoir plus, il faudra

attendre la fin de l’année, voire

le début de la prochaine.

A .Ber.

>

www.livrseditions.com

ENGIS

Des nouvelles avant un premier roman

L’auteur engissois Valéry

Hardiquest a participé à

un (nouveau) recueil de

nouvelles,

qui sort

début mars. Et travaille

sur son premier roman.

« Nouvelles saisons »,

c’est dix-huit nouvelles écrites à douze mains.

-