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urbh@handball.besurtout pas sous‐estimer la Lituanie. Ce n’est pas seulement une solide équipe, elle est
très dangereuse également. Tout le monde nous a vus jouer contre la France, ce qui
signifie que notre tactique à 7 contre 6 est connue, quand bien même je dois dire que
nous l’avons encore perfectionnée. Les Lituaniens sont grands et forts. Si nous jouons
vite et que nous nous organisons bien, nous avons des chances. La double rencontre
contre la Lituanie et nos chances de qualification motivent le groupe. Après avoir battu
la Turquie l’an dernier, de quoi nous permettre de disputer ces qualifications, l’objectif
était de jouer contre les grandes nations. L’objectif suivant est de remporter un match
de qualification. Si cela réussit mercredi, et que nous parvenons à rééditer cette
performance dimanche, tout reste possible, surtout quand on sait qu’il nous faudra
encore affronter la Norvège et la France dans la foulée. Nous devons simplement y
croire.’’
“Je suis particulièrement impatient de disputer cette double rencontre contre la
Lituanie,
explique
Julien Devisch
. Après la victoire de la Lituanie contre la Norvège,
nous devons être sur nos gardes, mais il y a des possibilités, et nous allons tout mettre
en œuvre pour remporter ces deux matches.’’
“Nous sommes très motivés et nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour gagner
la rencontre de mercredi,
enchaîne Damian Kedziora
. La Lituanie a une manière de
jouer peu orthodoxe. Leur jeu est très physique. Ce sera d’autant plus évident lors des
analyses vidéo qui vont suivre. Mercredi, j’espère que la salle sera comble, et je serais
très heureux qu’un public nombreux se déplace à Louvain, notamment les supporters
venant de la région germanophone. Tous les encouragements seront les bienvenus.’’
Ce mercredi, les Red Wolves vont jouer pour la première fois dans le Sportoase Leuven.
Yérime Sylla
espère compter sur un soutien inconditionnel des fans.
“Sportoase est
une institution en termes de structures sportives en Belgique. Je dois les remercier, ainsi
que la Ville de Louvain, d’avoir pu trouver un accord avec la Fédération Royale belge de
hand‐ball. D’un point de vue géographique, c’est un avantage pour les supporters, car
Louvain se situe au beau milieu du pays. Je me réjouis de cette première rencontre
mercredi, mais je ne veux ni ne peux oublier Liège. En novembre dernier, nous avons là‐
bas écrit l’histoire du hand‐ball belge, et plus tôt, nous y avions battu la Turquie, ce qui
nous a ouvert les portes des qualifications en vue de la compétition européenne. Ces
prestations sont gravées à jamais dans nos mémoires. Avant cela, nous avions déjà
connu de très beaux moments à Gand et Hasselt. Maintenant, cap sur Louvain.’’
“J’ai joué la finale de la Coupe de Belgique au Sportoase,
explique
Serge Spooren
. C’est
une salle fantastique, qui peut contenir beaucoup de public. J’espère dès lors que nos
fans seront présents en masse mercredi, mais aussi contre la Norvège à la mi‐juin, afin
de nous supporter. Le hand‐ball grandit en Belgique, et il doit continuer à évoluer.