Persoverzicht september 2021

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Stocks limités + Kit Booster Wifi (99€) OFFERT 497€ 0€ 20008760 Depuis 2016, le festival « les Unes fois d’un soir » est le ren- dez-vous incontournable pour les familles lors du mois de sep- tembre à Huy. Mais après une année d’absence en raison de la crise sanitaire, le format de l’événement ne sera pas le même, au contraire de la pro- grammation. Cette dernière vise toujours les spectacles de la rue mais aussi des clowns, des spec- tacles surréalistes. On notera également qu’il y aura un cirque d’escargot et un homme qui arpentera les rues hutoises avec sa vache. En effet, ces différentes repré- sentations auront lieu en 9 jours (du 17 au 25 septembre), au lieu d’un seul habituelle- ment. « Ce type de formule pré- sente des avantages car elle per- met une programmation plus étalée, plus aérée et donc par- fois plus simple pour les specta- teurs qui souhaiteraient assister à tous les spectacles », note l’échevin de la culture, Étienne Roba. Un événement d’autant plus important pour la ville, qui at- tache une grande importance à la culture. « C’est un des grands événements de la région, et nous en sommes très heureux de l’accueillir une nouvelle fois après cette longue période de pandémie », reprend l’échevin hutois. DIFFÉRENTS LIEUX DE HUY « Qui plus est, le festival génère des retombées économiques im- portantes pour nos commerces, nos gîtes, nos hôtels et l’en- semble du secteur de l’horeca », poursuit-il. « Il y a en plus une programmation de très grande qualité et très diversifiée. » Si la quasi-intégralité du festival se déroule dans les rues de Huy, dont la Place Verte, le Couvent des frères Mineurs ou encore le Parc Vierset, le lancement des « Unes fois d’un soir » aura lieu sur la place de Grand-Marchin, pour un spectacle d’ores et déjà complet. À noter que cette édition mar- quera la fin des « Unes fois d’un soir » au mois de septembre. Les éditions des prochaines années auront lieu en avril, « c’est une manière d’ouvrir la saison des festivals au lieu de la clôturer comme on le fait actuelle- ment », conclut Olivier Minet, directeur de Latitude 50. - LUCAS BEAUDUIN Les Unes fois d’un soir de retour pour… 9 jours HUY - DU 17 AU 25 SEPTEMBRE Pour toute la famille. © FB Ce mardi, le 4e Bataillon de Génie d’Amay voyait un nouveau chef de corps prendre les commandes. Le lieutenant-colonel Carl Coucke succède ainsi à Philippe Ramae- kers, après 2 ans et demi de com- mandement. Le nouveau chef d’Amay est origi- naire de Liège, mais habite actuel- lement dans la région de Maas- mechelen. Il est âgé de 46 ans, est marié et a deux filles de 12 et 14 ans. Passionné de handball qu’il pratique assidûment à ses heures perdues, il voue également une adoration à son travail : « Mon principal hobby, c’est mon travail à la Défense ! » Il continuera de servir la Défense depuis Amay. La prise d’armes a eu lieu ce mardi en fin de mati- née, devant un parterre d’invités. Elle était rythmée par la fanfare de la force aérienne, suivie des 7 pelotons du 4e Bataillon du Génie d’Amay. Le lieutenant-colonel Coucke a fait une grande partie de sa car- rière dans l’armée. Fraîchement arrivé de Bourg-Léopold où il don- nait cours aux candidats majors et aux capitaines du génie dans le Détachement Tactique Inter- armes. Durant son parcours, il était déjà passé par Amay. « J’ai officié pendant 4 années ici à Amay. J’ai d’abord été comman- dant de Compagnie, entre 2014 et 2016, puis officier d’opération et d’entraînement du Bataillon de 2016 à 2017. » POURSUIVRE LE TRAVAIL DU LIEUTENANT-COLONEL RAMAEKERS Durant son commandement au Génie d’Amay, Carl Coucke sou- haite poursuivre le travail de son prédécesseur. « Nous allons assu- rer une espèce de continuité dans le travail. C’est comme dans une entreprise. Lorsqu’un patron s’en va, celui qui le remplace va, bien sûr, avoir sa façon de travailler, mais va également tenter de poursuivre ce qu’a fait la per- sonne qui le précédait. Nous al- lons ici continuer la transition au sein du personnel, avec un recru- tement intensif de jeunes, mais également un transfert de l’expé- rience entre ceux qui partent à la pension et ceux qui arrivent au sein du Bataillon. » Le lieutenant-colonel Coucke le promet, « j’essaierai de rester proche de mes hommes. » Durant sa carrière, il a assuré 5 opéra- tions à l’étranger. Et notamment au Kosovo comme chef de pelo- ton entre décembre 2000 et avril 2001 en Afghanistan, en 2013, comme conseiller d’état-major. « Nous avons encore quelques élé- ments qui sont au Niger, mais la grande majorité de nos hommes sont revenus à Amay. » Arriver à Amay comme chef de corps du 4e Bataillon de Génie est un aboutissement pour celui qui est le premier paracommando à occuper ce poste (statut qu’il oc- cupait à ses débuts). « C’est vrai- ment le top d’en être arrivé là au- jourd’hui. Ce serait prétentieux de dire que, depuis le début de ma carrière, j’aspirais à en arriver là. Mais j’ai vu récemment que les possibilités se présentaient à moi pour postuler. J’ai alors informé mes chefs de mes ambitions à Amay. » - FLORENT ERCULISSE Le passage de flambeau a eu lieu ce mardi. © F.E. L ors d’une grande parade rythmée par la fanfare de la Force aérienne, le lieutenant-colonel Carl Coucke a pris le commandement du Bataillon d’Amay. Il succède à Philippe Ramaekers. Portrait. Le lieutenant-colonel Carl Coucke succède à Philippe Ramaekers AMAY Passage de flambeau au 4 e Bataillon de Génie